Jolie Diosa …
J’ai récemment succombé au charme fou et très féminin de la robe Diosa de Charlotte Jaubert. Une robe en maille, asymétrique et prêt du corps.

J’ai découvert l’univers de Charlotte Jaubert il y a quelques mois sur les réseaux. Une ambiance féminine et sensuelle où la créatrice démocratise avec passion la couture de la lingerie et du maillot de bain.
« Ton corps, ton pouvoir » by Charlotte Jaubert
Diosa est un modèle décliné en maillot de bain, en jupe et en robe avec au choix trois longueurs (courte, cheville et très longue). Son atout, il peut s’adapter à toutes occasions. Une robe pour le boulot, la plage ou chiller à la maison? pour une soirée plus habillée? tout dépendra de la matière utilisée. L’essentiel est que ce soit une matière stretch. C’est un modèle inclusif qui va de la taille 32 à la taille 52 et accessible au débutantes.
Mon coup de coeur, c’est la robe longueur cheville. J’en avais très envie mais encore fallait-il que j’ose. Une question d’acceptation de soi. Et puis il y a eu la nouvelle collection Dynastie Botanique 2025 de Julie alias « Avril Fabrics », créatrice de tissus stretch, colorés et imprimés. Son rayon, de magnifiques imprimés fleuris. J’ai eu un gros coup de coeur pour le jersey modal Louise Natural.



En sommes, cette histoire est une belle rencontre couture. J’ai cousue ma robe en taille 46 et dans la longueur cheville. Elle taille parfaitement bien. Je craignais qu’elle soit un peu lâche au niveau de la tenue du bustier poitrine car le tableau de mesure du 46 correspond à un 104-107 cm de tour de poitrine. Il n’en ai rien. J’ai simplement ajouté 2 cm de longueur pour mon 1,70 m. Le jersey modal est bien adapté pour sa fluidité et son effet léger sur la peau sans être transparent. Le motif hyper coloré est un plaisir à porter.

J’ai utilisé ma surjeteuse pour l’ensemble des coutures. Diosa se coud très rapidement. Dans son livret explicatif, Charlotte Jaubert préconise de « glaçer » l’ensemble des coutures avant de les passer à la machine. Je ne suis pas très à l’aise avec les tissus stretch, alors j’ai suivi ce conseil et c’était top. L’aiguille pour la surjeteuse est une aiguille stretch taille 80. Je n’ai eu aucun souci de points qui sautent ou autre mauvaises surprises. Pour l’ourlet du bas de robe, je n’ai pas réussit à utiliser l’aiguille double à la machine à coudre. Une question de réglage sûrement mais je n’ai pas trouvé la solution. J’ai réalisé une couture simple en zigzag pour garder l’élasticité.

Enfin, j’ai fait une belle découverte mercerie pour les finitions coutures parfaites, fraiches et colorées. Il s’agit des étiquettes couture de chez Romarine Couture. Ici, j’ai utilisé l’étiquette « la patronne » sur fond d’un coeur rose fuchsia. Je voulais qu’elle se voit. Je l’ai posée sur le bas de la robe pour apporter une touche originale et un fini parfait.

Cette robe offre un confort inégalable et dans laquelle je me sens jolie. Le pari est gagné et j’ai bien fait d’oser. Merci aux créatrices de rendre tout cela possible. Dose de fierté maximale!


PS: Ce magnifique cabas est celui créé par Céline de TerrOrange, une autre créatrice toulousaine qui confectionne avec douceur, élégance et savoir faire des object de décoration et accessoire féminins en corde de jute, de coton naturels et colorés.